Elle est là, je la sens, l'Aéther se couvre de noirceur et de corruption.
 
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 Les Metaïs

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Naelhyn

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Naelhyn
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MessageSujet: Les Metaïs   Les Metaïs EmptyVen 10 Fév - 20:56

Les Metaïs Metaa_26

Les Metaïs sont des métamorphes accomplit, vivant en clan composé d'une trentaine d'individus. Chaque Metaï possède un Lié, un animal avec qui ils sont unis et qui leur permettent de se transformer en cet animal précis. Si le Lié venait à mourir, le Metaï ne pourrait plus se transformer et chercherait à se venger. Les métamorphoses sont toutefois douloureuses et dangereuses et il est possible qu'un Metaï reste sous sa forme animale, incapable de reprendre sa forme initiale.

Les Metaïs ont des apparences très variées, mais ils sont facilement reconnaissable grâce à leurs yeux fendues (yeux fendue que le Lié acquière également après l'Union) et à leurs tatouages qui décorent leurs corps.

Ils se réunissent principalement en clan d'une trentaine d'individu, loin de toutes civilisations et vivent dans la simplicité, appréciant les grands espaces où ils peuvent chasser, courir ou encore voler selon leur métamorphose.

Coutume :

La coutume l'a plus connue des Metaïs reste l'Union. Vers l'âge de quinze ans, un jeune Metaï quitte famille et son clan pour partir à la recherche de son Lié afin de pouvoir se transformer. Il peut parfois passer toute sa vie sans le trouver et ne sera, par conséquent, jamais considéré comme un adulte par les siens. Lors de la découverte du Lié, un lien se crée entre eux et la première métamorphose s'accomplit. C'est la plus douloureuse et la plus dangereuse et il est possible qu'un Metaï ne parvienne plus à reprendre sa forme initiale et reste sous sa forme animale. Après cette métamorphose, le Metaï et son Lié sont unis pour le reste de leur vie, ressentant ce que l'autre ressent, souffrant quand l'autre souffre, un seul esprit pour deux corps. Le Metaï peut par la suite soit retourné dans son clan, soit partir définitivement.

Autre :

Il existe deux sortent de Metaï, ceux décrit plus haut et ceux qui restent sous forme animale soit par envie, sois parce qu'ils ne sont plus capables de reprendre leur forme initiale. Ils sont alors appelés Garou. La plupart des garous ne s'approche pas de la civilisation et reste dans la nature à vivre leur vie comme de simple animale. D'autre recherche la compagnie des leurs. Enfin, certain laisse leur instinct sauvage prendre le dessus et deviennent des bêtes sanguinaires et avide de sang. Ceux-là sont impitoyablement chassés par les Metaïs et les autres races.

Capacité raciale :

- Lien avec son Lié (capacité de se métamorphoser en son Lié et de ressentir tous ce qu'il ressent)
- Agilité, souplesse, rapidité et réflexe amélioré.
- Résistance physique

*****

"J'aperçus un Metaï pour la première lors d'un voyage sur les plaines Steelis. La nuit venait juste de tomber et j'allumais un feu quand un craquement et des pas lourd me mirent aux aguets. Un poignard à la main, prête à frapper toutes personnes menaçantes, sachant que les plaines n'étaient pas un lieu sûr pour une aventurière solitaire.

C'est à ce moment-là qu'un loup s'effondra près de moi, le flanc ouvert de trois longues entailles d'où le sang coulait abondamment. Un autre loup vint ce poster près du premier et le renifla tout en couinant. Je demeurais un instant indécise ne sachant que faire. Puis le premier loup fut agité de spasme violent, poussa plusieurs plaintes et je pus voir ces pattes s'allonger, son museau rétrécirent, son corps grandirent... Il subit plusieurs transformations jusqu'à devenir un homme entièrement nu et évanouis près de mon feu.

On m'avait déjà parlé des Metaïs, ces hommes et ces femmes qui pouvaient se métamorphoser en leur animal Lié, mais en voir un le faire devant moi était... surprenant.

Je rangeais le poignard à ma ceinture et m'approchais prudemment. Le second loup se mit à grogner et montra les dents, j'en déduisis qu'il devait être le Lié. Je m'accroupis afin de paraître moins menaçante et me mit à dire des mots apaisant tout en lui expliquant que son "maître" (je ne savais pas alors comment qualifier l'un et l'autre) risquait de mourir si on ne faisait rien.

Le loup finit par se calmer, mais garda les babines retroussé, comme une menace que je pris au sérieux. Je m'approchais du blesser, sa poitrine se soulevait et se baissait rapidement, sa respiration était sifflante et il tremblait de fièvre. Je le recouvris de mon manteau puis détacha une bourse de cuir de ma ceinture et l'ouvris. L'odeur des herbes médicinales me chatouilla les narines et je fouillais à l'intérieur afin de trouver la plante que je cherchais.

Je trouvais enfin les feuilles d'aigremoine que je me mis à mastiquer pendant que je nettoyais la plaie à l'aide de l'eau de ma gourde et d'un tissu propre. Une fois lavé, j'appliquais les feuilles sur les plaies et bandais le tout, espérant que l'hémorragie s'arrêterait. Le Lié m'avait regardé faire tout du long, la tête penchée, observant chacun de mes gestes.

Lorsque j'eus finis, je me posais près du feu et veillais le blessé toute la nuit. Ce n'est que le lendemain qu'il ouvrit les yeux et parut étonner d'être encore vivant et encore plus de me voir à ces côtés. Quant à moi, je fus surprise de le voir se rétablir si vite. Je l'obligeais malgré tout à ne pas bouger et changeait les bandages, le sang avait coagulé, mais la blessure restait fragile. Il me remercia alors de l'avoir sauvé et m'expliqua sa mésaventure."

Carnet de voyage, extrais "Une nuit dans les plaines" écrit par Naelhyn Asta'Riel
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Les Metaïs

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